Robert Bourgi, défenseur de la « françafrique » a analysé les rapports entre le tandem Diomaye-Sonko et la France. Selon lui, aujourd’hui c’est le système gagnant-gagnant. « C’est fini la forme de gouvernement qui existait sous la françafrique », a déclaré M. Bourgi.
Pour lui, avec la mondialisation, « c’est gagnant-gagnant. Il n’est plus question d’un retour quelconque de la forme de relation de gouvernement qui existait sous la «françafrique ». C’est fini. C’est terminé », persite et signe M. Bourgi.
Selon l’avocat franco-libanais, les nouveaux dirigeants de certains pays africains n’accepteront plus d’être sous la tutelle de la France. « Aujourd’hui, Ousmane Sonko et Diomaye Faye, nos officiers du Mali, du Burkina Faso, du Niger et de la Guinée et bientôt d’autres pays n’accepteront pas le tutorat. Absolument pas », a-t-il conclu.
Invité de l’émission Grand jury du dimanche sur la Rfm, ce 24 novembre 2024, Robert Bourgi est d’avis que la « françafrique » est dépassée. « Il faut s’adapter au mouvement général du monde. Aujourd’hui, il n’est pas pensable, à moins d’être fou, de croire qu’on pourrait pérenniser ou réactualiser des anciennes relations qui ont existé entre la France et les Républiques africaines. Pas du tout », fait-il savoir.
Pour lui, avec la mondialisation, « c’est gagnant-gagnant. Il n’est plus question d’un retour quelconque de la forme de relation de gouvernement qui existait sous la «françafrique ». C’est fini. C’est terminé », persite et signe M. Bourgi.
Selon l’avocat franco-libanais, les nouveaux dirigeants de certains pays africains n’accepteront plus d’être sous la tutelle de la France. « Aujourd’hui, Ousmane Sonko et Diomaye Faye, nos officiers du Mali, du Burkina Faso, du Niger et de la Guinée et bientôt d’autres pays n’accepteront pas le tutorat. Absolument pas », a-t-il conclu.